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Le PDG de TransCanada s'en prend aux environnementalistes opposés à Keystone XL

Le PDG de TransCanada s'en prend aux environnementalistes sur Keystone XL
A woman holds up a sign protesting the Keystone XL pipeline outside of a State Department public hearing in Washington, D.C., U.S., on Friday, Oct. 7, 2011. BP Plc's oil spill in the Gulf of Mexico helped fuel environmentalists' opposition to TransCanada Corp.'s Keystone XL pipeline, the company's chief executive officer said. TransCanada plans to build a 1,661-mile (2,673-kilometer) line to transport Canadian oil from Alberta to Texas refineries. Photographer: Andrew Harrer/Bloomberg via Getty Images
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A woman holds up a sign protesting the Keystone XL pipeline outside of a State Department public hearing in Washington, D.C., U.S., on Friday, Oct. 7, 2011. BP Plc's oil spill in the Gulf of Mexico helped fuel environmentalists' opposition to TransCanada Corp.'s Keystone XL pipeline, the company's chief executive officer said. TransCanada plans to build a 1,661-mile (2,673-kilometer) line to transport Canadian oil from Alberta to Texas refineries. Photographer: Andrew Harrer/Bloomberg via Getty Images

LAKE LOUISE, Alta. - Le président du géant énergétique TransCanada affirme que les groupes environnementaux ont recadré le débat sur l'oléoduc Keystone XL pour en faire un référendum sur la crédibilité écologique du président américain Barack Obama.

Russ Girling soutient qu'il est injuste de présenter les choses de cette manière.

Au dire de M. Girling, les militants environnementaux ont eux aussi «monté une histoire» selon laquelle les sables bitumineux sont la plus grande bombe au carbone de la planète, et que l'oléoduc de 5,4 milliards $ en serait la mèche.

À la blague, le PDG raconte qu'il a dû rassurer sa propre mère — une admiratrice de l'acteur américain Robert Redford, vivement opposé au projet — qu'il n'allait pas «faire sauter la planète».

TransCanada a déposé une demande au département d'État américain pour construire l'oléoduc Keystone XL, il y a plus de cinq ans, et une décision est attendue l'an prochain.

M. Girling a émis ces remarques vendredi lors d'un forum économique à Lake Louise, en Alberta.

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