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«La légende de Zelda: A Link Between Worlds», on l'a testé et on l'a adoré (PHOTOS)

«La légende de Zelda: A Link Between Worlds», on l'a testé et on l'a adoré (PHOTOS)
Nintendo

L’arrivée dans l’univers des jeux vidéo d’une nouvelle aventure de Zelda est un événement incontournable. La célèbre franchise qui accumule 27 années d’existence et plus d’une quinzaine d’opus traine avec elle des millions d’admirateurs, souvent les nostalgiques de la première heure. Nintendo a d’ailleurs tenu à leur rendre hommage avec La légende de Zelda : A Link Between Worlds, le plus récent volet de la saga disponible en magasin dans une semaine.

En effet, l’entreprise japonaise fait un joli clin d’œil au passé en proposant un chapitre en lien direct avec un ancien fameux épisode. «C’est pour nous un énorme lancement, déclare en entrevue Julie Gagnon, porte-parole de Nintendo Canada. Parce que ce nouvel épisode est la suite de Link to the Past sorti sur la Super Nintendo en 1991 et considéré aujourd’hui comme l’un des meilleurs de la franchise».

Les connaisseurs seront donc en terrain connu, celui d’Hyrule il va sans dire. La carte où résident les sept sages reste sensiblement la même. Les trois pendentifs qui permettent de soulever l’épée légendaire devraient également refaire leur apparition. Mais là s’arrêtent les comparaisons, puisque A Link Between Worlds propose une histoire inédite avec la découverte de la mystérieuse et sombre région prénommée Lorule.

«L’environnement déjà connu des joueurs a été revampé. Il reste que le récit n’a plus rien à voir. Il propulse le héros Link au cœur de nouveaux défis à relever. Les ennemis en plus grand nombre ne sont plus les mêmes. Les donjons et les palais ont été complètement repensés. Et pour finir, la création du pays Lorule, l’équivalent malfaisant de Hyrule, décuple la superficie des mondes à parcourir», affirme la porte-parole.

Du pur bonheur

Le personnage de Link connait aussi quelques transformations. «Il peut se changer en dessin et ainsi apparaître à travers les murs. Une fonctionnalité qui lui permet d’aller explorer des territoires et des dimensions restés inconnus. À cet effet, le jeu a totalement été remis à plat afin de mettre en place cette option», précise Julie Gagnon.

Nous avons testé en exclusivité une version démo du jeu. Notre verdict? Du pur bonheur. A Link Between Worlds utilise à merveille les capacités de la console portable. Les graphismes soutenus par une 3D stéréoscopique impeccable restent excellents et la mobilité du personnage est parfaite. Bien que reconnaissable, la musique offre des mélodies originales adorables.

Voulu par les concepteurs, le joueur peut presque aller où il le veut, et ce, dès les premières minutes du jeu. Il n’y a donc pas d’ordre à suivre pour terminer l’aventure. Le fait que Link puisse épouser les parois en s’y fusionnant tel un dessin cartoon est une brillante idée. Visiblement sans limites, l’option n’est pas qu’un gadget, mais une véritable nécessité. Sans cela, Link serait incapable d’accomplir sa mission.

Bref, A Link Between Worlds est une entière réussite. Le jeu devient rapidement addictif au même titre que ses prédécesseurs. Bourré de surprises et d’univers à découvrir, il devrait sans doute ravir les initiés et les nouveaux joueurs qui ne connaissent pas Zelda, s’il en existe encore.

La légende de Zelda: A Link Between Worlds – Nintendo – Action-aventure – sortie le 22 novembre 2013 – Multilingue – Mode un joueur – Disponible sur Nintendo 3DS.

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