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Lire au volant, n'est pas plus acceptable que texter au volant dit la SAAQ

Lire au volant, n'est pas plus acceptable que texter au volant
AP

QUÉBEC - Lire au volant n'est pas plus acceptable que texter au volant.

La Société de l'assurance automobile du Québec (SAAQ) en fait l'objet de sa troisième campagne de sensibilisation sur le texto, affirmant que les conducteurs doivent résister à consulter les messages reçus lorsqu'ils sont au volant.

Si l'idée de dangerosité associée aux textos a progressé, de nombreux Québécois avouent qu'ils ne peuvent tout simplement pas résister à la sonnerie du téléphone. Ils sont toujours nombreux à s'empresser de lire leurs messages et d'y répondre, et ce, même s'ils conduisent leur véhicule.

Le ministre des Transports, Sylvain Gaudreault, estime que la dépendance associée aux textos constitue un enjeu de société et dépasse ainsi la problématique de la sécurité routière.

La Loi interdit de tenir en main tout appareil ayant une fonction téléphonique au volant.

Depuis juillet 2008, le nombre d'infractions continue d'augmenter et atteint maintenant plus de 223 700 infractions. De 11 485 constats d'infractions en 2008, on en comptait 63 945 en 2012.

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