Le Britannique Lewis Hamilton partira sur la première ligne du circuit de Spa-Francorchamps au Grand Prix de Belgique, dimanche.
Après les Grands Prix de Grande-Bretagne, d'Allemagne et de Hongrie, il a remporté la pole position sur la piste belge. Plus important encore, il a repoussé l'Allemand Sebastian Vettel à la 2e place sur la grille, samedi.
« Je n'y crois pas », a-t-il lancé à son équipe.
Comme en Hongrie en fin juillet, le Britannique a coiffé de justesse le meneur au classement.
Sur une piste mouillée et sous un ciel changeant, Hamilton a enregistré un dernier tour imbattable de 2 min 1 s 12/1000 au volant de sa Mercedes.
Il s'agit de la 31e pole position en F1 du pilote depuis le début de sa carrière.
La deuxième ligne sera de la même couleur que la première. L'Australien Mark Webber, coéquipier de Vettel chez Red Bull, et l'Allemand Nico Rosberg, avec Mercedes, s'aligneront à la 3e et 4e position.
Fernando Alonso, 2e temps lors de la troisième séance d'essais libres, a dû se contenter du 9e chronomètre.
Dès les premiers instants des qualifications, les pilotes ont été obligés de faire un arrêt aux puits afin de changer de pneus en raison de la pluie.
En matinée, l'Allemand Sebastian Vettel a survolé la troisième et dernière séance d'essais libres sous un ciel incertain.
Vettel, 1:48,327, a devancé l'Espagnol Fernando Alonso (1:48,432). Il s'est glissé entre les deux pilotes de l'écurie Red Bull.
L'Australien Mark Webber a conclu la séance avec un temps de 1:48,533.
L'Allemand a débouché le champagne sur le circuit près le Liège en 2011.
Avant la troisième séance, Pirelli a indiqué que les crevaisons lors de la deuxième séance d'essais libres de Vettel et d'Alonso étaient dues à un débris métallique sur la piste. Les incidents n'ont pas provoqué de conséquences pour les pilotes.
Le débris viendrait du patin abîmé de la Lotus du Finlandais Kimi Räikkönen selon Pirelli.
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