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Conditions de remise en liberté assouplies pour une policière accusée de corruption

Conditions de remise en liberté assouplies pour une policière accusée de corruption

Marie-Pierre Tremblay, une policière de la Sûreté du Québec (SQ) accusée de corruption, d'abus de confiance, d'entrave et de trafic de drogue, est revenue devant le tribunal vendredi matin pour un rapport d'étape.

Le mois dernier, le juge René de la Sablonnière avait ordonné que la femme de 35 ans se soumette à une thérapie fermée d'un moins un mois pour régler ses problèmes de consommation de drogue.

Marie-Pierre Tremblay a obtenu des assouplissements de ses conditions de remise en liberté. Plutôt que de demeurer 24 heures sur 24 au centre de désintoxication La Vigile, elle pourra faire des sorties en compagnie d'un intervenant.

L'accusée pourra aussi sortir les fins de semaine avec un de ses parents, mais elle sera tout de même soumise à un couvre-feu.

La policière a été arrêtée à la suite d'une enquête interne au sein de la SQ. Elle aurait utilisé des données du Centre de renseignements des policiers du Québec à des fins personnelles.

Marie-Pierre Tremblay reviendra en cour le 19 août.

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