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Des propriétaires de gîtes dénoncent l'hébergement illégal

Des propriétaires de gîtes dénoncent l'hébergement illégal

L'Association des gîtes et résidences touristiques de Montréal (AGTM) réclame des mesures immédiates pour mettre fin à la prolifération d'établissements illégaux. Elle a fait parvenir vendredi une mise en demeure en ce sens au ministre délégué au Tourisme du Québec, Pascal Bérubé, de même qu'aux maires de la ville de Montréal et de l'arrondissement du Plateau Mont-Royal.

L'Association déplore que les diverses instances gouvernementales n'aient rien fait pour enrayer le problème de façon définitive, malgré de multiples rencontres. L'AGTM affirme qu'elle se bat contre le fléau de l'hébergement illégal depuis cinq ans. Selon elle, on trouve en ce moment près de 6500 établissements illégaux à Montréal, contre 117 gîtes et résidences touristiques légaux.

L'AGTM estime que le statu quo est synonyme d'injustice et de pertes faramineuses en revenus.

En mai dernier, l'Association des hôteliers du Québec (AHQ) avait aussi demandé au gouvernement du Québec d'agir rapidement afin de contrer l'hébergement illégal. Elle affirmait que la concurrence engendrée par la location de chambres, d'appartements ou de chalets qui ne respectaient pas les règles, mettait en péril la pérennité des établissements conformes.

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