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L'Égypte rompt ses relations diplomatiques avec la Syrie

L'Égypte rompt ses relations diplomatiques avec la Syrie
In this Friday, July 13, 2012 photo, Egyptian President Mohammed Morsi holds a joint news conference with Tunisian President Moncef Marzouki, unseen, at the Presidential palace in Cairo, Egypt. Egypt's Islamist president may look like he's running out of options as he faces an appeals court strike and massive opposition protests over decrees granting himself near absolute power. Will he back down now? Most likely not. Mohammed Morsi's next move may be to raise the stakes even higher. Signs are growing the constitutional panel at the heart of the showdown could vote on a draft this week despite a walkout by liberal and Christian members. (AP Photo/Maya Alleruzzo)
AP
In this Friday, July 13, 2012 photo, Egyptian President Mohammed Morsi holds a joint news conference with Tunisian President Moncef Marzouki, unseen, at the Presidential palace in Cairo, Egypt. Egypt's Islamist president may look like he's running out of options as he faces an appeals court strike and massive opposition protests over decrees granting himself near absolute power. Will he back down now? Most likely not. Mohammed Morsi's next move may be to raise the stakes even higher. Signs are growing the constitutional panel at the heart of the showdown could vote on a draft this week despite a walkout by liberal and Christian members. (AP Photo/Maya Alleruzzo)

LE CAIRE, Égypte - Le président islamiste de l'Égypte a annoncé samedi que son pays rompait ses liens diplomatiques avec la Syrie et a ordonné la fermeture de l'ambassade syrienne au Caire.

Cette décision survient alors que se multiplient les appels de religieux sunnites prônant la ligne dure et réclamant la «guerre sainte» contre le régime syrien empêtré dans une guerre civile.

Mohamed Morsi a déclaré devant des milliers de partisans que son gouvernement avait rappelé son chargé d'affaires de Damas. Il a demandé au Hezbollah de se retirer de la Syrie, là où le groupe chiite libanais, appuyé par l'Iran, combattait avec les troupes gouvernementales.

Il a déclaré que le Hezbollah n'avait pas d'affaire à être présent en Syrie.

Le président égyptien a aussi profité de l'occasion pour prévenir ses opposants intérieurs à ne utiliser la violence lors de leur prochain grande manifestation de masse prévue pour le 30 juin. Il a accusé des partisans de l'ancien régime de Hosni Moubarak d'être derrière le mouvement de protestation.

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